Combat au féminin

A l’évidence, la célébration de la Journée internationale de la femme n’est pas un fait anodin. C’est l’occasion de rendre hommage à une gent qui forge avec l’homme le destin de l’humanité.

En Algérie, le 8 Mars revêt une signification particulière surtout durant ces quelques dernières années où l’élément féminin a investi tous les domaines de la vie nationale, même ceux qui étaient réservés uniquement à son vis-à-vis masculin.

L’Algérie est en train de se bâtir à vive allure et la femme se trouve être un élément égalitaire avec l’homme dans cet effort d’édification.

C’est pourquoi, on voit aujourd’hui une présence féminine soutenue non seulement au niveau des secteurs de prédilection comme l’éducation et la médecine, mais aussi dans bien d’autres Secteurs, autrefois plus réservés comme par exemple la magistrature et la police.

La femme algérienne a, en vérité, investi des fonctions et des rangs encore plus restreints comme ceux de wali, d’ambassadeur, de pilote, de candidate à la présidence de la République, etc.

Si les Algériennes continuent de prendre part à la noble mission de développement devant faire de l’Algérie une nation forte et véritablement émergente à l’horizon de la prochaine décennie, elle continue également de bénéficier de tous les égards en termes de santé, d’instruction, de justice et d’habitat…

Ainsi donc, après avoir été de tous les combats pour l’indépendance de l’Algérie, la femme algérienne a joué un rôle stratégique après l’indépendance et plus particulièrement durant ces dernières années.

Le Président Abdelaziz Bouteflika, artisan d’une plus grande émancipation féminine, mais aussi de l’ère nouvelle que vit l’Algérie, a été catégorique : “C’est l’image, dira-t-il, de l’Algérie de demain qui est en train de se préciser sous nos yeux et qui, mieux que la femme algérienne, peut lui apporter la grâce et l’hamonie que nous lui souhaitons pour le bonheur de nos générations à venir”.

Nadjib Hadded